En 6120 km, 12
crevaisons (11 en 2010 et en 8 jours ; une seule en 2011 et en
2012). 1 chute en 2011 à 5 km du but. 1 réparation garde-boue remorque et 1
réglage dérailleur en 2010. 1 remplacement axe pédalier, chaîne, roue libre,
câbles et patins de freins, en 2012. Les deux pneus ont fait le tour, mais sont
usés (à l’arrière notamment).
La béquille de remorque est légèrement faussée à cause des espagnoles en folie rencontrées à Cannes en 2011… En 2010, le sac de remorque pesait 16 kilos, en 2011, 14, en 2012, 12 : un amaigrissement très apprécié dans les bosses !...
La béquille de remorque est légèrement faussée à cause des espagnoles en folie rencontrées à Cannes en 2011… En 2010, le sac de remorque pesait 16 kilos, en 2011, 14, en 2012, 12 : un amaigrissement très apprécié dans les bosses !...
Un T-shirt perdu en 2011 ; une
chaussette et un cadenas en 2012…Merci : à mes feux clignotants automatiques à l’avant et à l’arrière ; à mon rétroviseur (l’arme absolue !) ; à mes équipements d’hiver (collant, veste, gants longs) : 4°C au sommet du Tourmalet, dans certaines vallées des Alpes, de bon matin, et à Sainte-Marie-aux-Mines dans les Vosges ; à mes blocages antivol et à mon antivol spirale ; à mon indicateur de pente… à ma remorque mono-roue qui n’a pas faibli… à mon GPS, parfois farceur !
Tests d’effort et
électro cardiogramme positifs avant le départ et au retour en 2010, 2011 et
2012. Poids stable. Accoutumance à la charge de travail (environ 100 km/jour)
au bout de quatre jours de route. Aucun ennui musculaire ou tendineux. La plus
forte consommation de boisson (eau !) : 16 bidons au cours de l’étape
Port-la-Nouvelle/Pinet (86 km, mais 43° à Narbonne-Plage !). Sommeil
profond : maximum 6 heures par nuit.
Avatars et difficultés : En 2010, 10 jours de pluie consécutifs et ininterrompus entre Blaye et Luz Saint-Sauveur !... Marche à pied dans les « petits cols du Pays Basque » (passages à 22% !). Descente verglacée du col du Tourmalet (20 cm de neige au sommet !) et glaciale du col d’Aspin (arrêt forcé à cause du froid !).
En 2011 :
argent perdu (500 euros !) sur la piste longeant le Canal de la
Robine entre Port-la-Nouvelle et Narbonne ; ascension du Galibier dans la
tempête de vent (route coupée 3 jours plus tard pour 250 cyclistes de l’étape
pré-Tour…).
En 2012 :
Passage éprouvant des derniers cols des Vosges (vent violent)… Quatre jours de
vent glacial et de face sur le plateau Lorrain ; marche à pied à Laon
(voie pavée 12%), à Cassel (idem !), en Picardie, Normandie, Bretagne
(passages à 13, 14, 17% !).
Traversée très « physique » de la Picardie (les « valleuses »), Normandie (la Suisse Normande) et Bretagne (le Massif Armoricain) : ce n’est pas du tout plat !